Le système de crédit chinois pourrait nuire à la souveraineté d'autres pays en modelant le comportement des hommes et femmes d'affaire étrangers qui s'aligneraient plus facilement sur la ligne du gouvernement.
Depuis le premier janvier 2018, ces derniers sont aussi soumis à ce crédit social. S'ils ont une mauvaise note, cela peut nuire à leurs affaires alors que si la note est bonne, celles-ci vont s'en retrouver facilitées.
Certains estiment que les entreprises n'ont pas d'autre choix que de se plier aux nouvelles règles s'ils veulent continuer à faire du commerce en Chine.

L'article est en anglais.