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'Communicate with Care' baked into orientation for newbies, according to fresh filing in ad search monopoly case
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The figures emerge as the UK is among seven nations warning of the impact of end-to-end encryption on public safety online.
Aux États-Unis, Facebook est sous le feu des critiques suite à la publication il y a quelques semaines d'une série d'enquêtes dans le Wall Street Journal. Dimanche, la lanceuse d'alerte à l'origine de ces révélations va dévoiler son identité à la télévision.
Google garde une trace de tous les mails d'achat en ligne que nous recevons. Produit, prix, vendeur·euse, etc.
Selon le Wall Street Journal, Facebook dispose d'un système interne secret qui exempte 5,8 millions d'utilisateurs de l'obligation de respecter les règles sur sa plateforme. Le journal a publié lundi une enquête détaillant comment des utilisateurs très en vue sur ses services, qui sont "dignes d'intérêt", "influents ou populaires, ou "risqués sur le plan des relations publiques", ne font pas l'objet des mêmes mesures d'application que les utilisateurs ordinaires, citant des documents internes de Facebook qu'il a consultés. Facebook a donc mis au point un programme appelé "XCheck" ou "cross check", qui est devenu dans de nombreux cas une liste blanche de facto. Au fil des ans, XCheck a permis à des célébrités, des politiciens, des athlètes, des militants et des journalistes de publier ce qu'ils voulaient, avec peu ou pas de conséquences en cas de violation des règles de l'entreprise. « Pour quelques membres choisis de notre communauté, nous n'appliquons pas nos politiques et nos normes… Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », peut-on lire dans un rapport interne de Facebook qui a fuité. Au moins 5,8 millions de personnes étaient inscrites au programme XCheck l'année dernière. Cela signifie qu'un grand nombre de personnes influentes sont autorisées à publier de manière largement incontrôlée sur Facebook et Instagram.