En anglais.
In regular intervals, Politicians demand that companies add backdoors to their end-to-end encrypted cloud services
to enable law enforcements to easier persecute criminals. This demand ignores that
any backdoor to encryption poses a severe threat to online security in general. This post explains
why a backdoor is - and will always be - a stupid idea.
Publicly, Google executive Ben Gomes has called the censored search engine “an exploration.” Privately, he wanted it completed “as soon as possible.”
Un témoignage sur la perte de notre emprise sur nos conversations au profit des IA. Celles-ci décident de plus en plus pour nous avec qui nous devons échanger.
Google employees are calling for the company to cancel its efforts to create a censored search app in China. "Project Dragonfly" has drawn criticism from human rights groups and U.S. politicians since details of the effort leaked this summer.
La traduction du document complet de l'étude du professeur Douglas C. Schmidt, spécialiste en systèmes logiciels et enseignant chercheur à l'université Vanderbilt.
Et ça fonctionne ! Génial.
Privacy-friendly alternatives to Google that don't track you
Ceci, suite à la découverte d'un bug présent depuis trois ans dans l'API du réseau social. À noter qu'il est plus que probable que le fait que le réseau social ne marchait pas des masses (90% des sessions duraient moins de cinq secondes) ait joué un rôle majeur dans la décision. Google indique vouloir se concentrer sur l'aspect entreprise de son réseau social.
DeepMind, l'intelligence artificielle de Google a obtenu l'accès aux données médicales de plus d'un million de patients du Royaume-Uni. Ces données concernent aussi bien l'état de santé du patient que la fréquence des visites qu'il a reçu ainsi que tout son historique au sein des hôpitaux se prêtant à l'expérience.
En anglais.
Evidemment, me direz-vous, étant donné le modèle économique de Google qui consiste à fournir des services gratuits en échange de données personnelles utiles au ciblage publicitaire, on pouvait se douter qu'Android, le système d'exploitation pour smartphones de Google, soit une pompe à données. Mais on n'imaginait pas forcément à quel point Android est glouton. Etude de l'université de Vanderbilt (US) Un professeur d'informatique à l'université de Vanderbilt (Nashville, Tennessee, USA) et son équipe ont mené une étude sur la collecte de données par Google. L'étude de 55 pages a été publiée en août dernier et rappelle que Google collecte des informations de deux manières. La première consiste en une collecte active, c'est-à-dire que l'utilisateur transmet ces informations de manière "directe" et "consciente", par exemple en se servant des applications de Google comme Youtube, Google Search, Gmail, etc. La seconde revient donc à une collecte dite passive, en ce sens que la collecte